honorable vital kamerhe est patriote

Publié le par aimonscongokinshasa

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Il y a 17 heures.Confort Banga a accepté votre demande d'ajout à ses amis. lundi.Doria Kirati aime votre statut. lundi.Prina Prodige aime votre photo. lundi.Katherine Dabo a accepté votre demande d'ajout à ses amis. lundi.Afficher toutes les notificationsRechercheAccueilProfil CompteGrace YesukristoniMungu NamegabeMunguahana.Gérer la liste d’amisParamètres du compteParamètres de confidentialitéParamètres des applicationsAideDéconnexionGrace YesukristoniMungu NamegabeMunguahanaModifier mon profil.Fil d’actualité(0) Messages(3) Mises à jour(137) Envoyés(0) Évènements(0) Évènements de vos amis(0)Anniversaires(0)Évènements passés(0) Photos(0) Vidéos(0)Albums récents(0)Téléchargements mobiles(0)Mes téléchargements(0) Amis(0) Rechercher des amis(0)Statuts(0)congo nouveaux(0)namegabe family and friends(0)amis courangeux(0)proche ami'e's(0)partisans dela paix(0)namegabefamily and friend(0) Plus .Applications(0) Jeux(0) Groupes(0) ↓ ↑ Groupes de vos amis(0) Causes(4) ↓ ↑ Articles(0) ↓ ↑ Mes articles(0)Mes brouillons(0)Articles à mon sujet(0) Zoosk(0) ↓ ↑ AVG Social Extension(0) ↓ ↑ iHeart(0) ↓ ↑ Phrases(0) ↓ ↑ Zoo World(0) ↓ ↑ Warmth(0) ↓ ↑ Mon test de grossesse(0) ↓ ↑ Liens(0) ↓ ↑ Cadeaux(0) ↓ ↑ PlusMoins · ModifierTerminé Amis en ligne .Discussion instantanée. . Fatou Fieerce.Lisette Chibalise.Schneider Jean Cha....Emma Massaquoi.Il n’y a personne en ligne. Afficher tout Passer en ligne Nouveau message(sans objet)..Retour à MessagesSélectionner toutTout déselectionnerMarquer comme lu(s)Marquer comme non lu(s)Signaler (indésirable)SupprimerAnnuler l'abonnement.Sélectionnez : Tous, Lus, AucunAfficher :TousNon lus. À l'attention des membres de Vital Kamerhe Noble Wetu 29 juin, à 17:34 RépondreDe toutes les personnalités qui se sont exprimées sur cet ignoble assassinat, une seule, curieusement, a eu droit à une réaction officielle du gouvernement. Comme pour dire : tout le monde pouvait parler, mais pas celui-là. Et celui-là n'est autre que Vital Kamerhe. Qui a cru de son devoir de citoyen et d'élu du Sud-Kivu, dont feu Chebeya était originaire, d'exprimer, dans des termes sans équivoque, et nullement offensant, pour qui que ce soit, son opinion, comme ont pu le faire nombre de ses compatriotes. Un silence de sa part, lui l'élu du Sud-Kivu, aurait été trop assourdissant et susceptible d'être considéré, par certains, comme un acte de démission. Il a donc parlé. Et bien parlé. Sans quelque chose de trop ni d'injurieux dans son propos. Malheureusement pour lui, le gouvernement ne l'a pas entendu ainsi. Parce qu'il l'a gratifié d'une réaction vigoureuse, visiblement sans lien logique ni commune mesure avec ses intentions à lui. Au point où dans l'opinion, et face à cette réaction inattendue du gouvernement, les gens en viennent à se poser la question de savoir de quoi Vital Kamerhe est présentement victime. D'un simple et regrettable malentendu, qui n'est pas à exclure, ou d'une fixation politique, qui serait hautement suspecte ? La réponse à ce stade ici importe peu. L'opinion note simplement que Kamerhe ne mérite pas d'être incompris de manière aussi flagrante. En effet, c'est quoi, je vais dire comment comprendre l'assassinat de Chebeya autrement que comme un acte qui " vise à annihiler toute voix discordante, empêcher l'éclosion ainsi que le renforcement de la société civile et éliminer tous ceux qui luttent chaque jour pour les valeurs républicaines ". C'est ce que dit Kamerhe. Pourquoi cherche-t-on dès lors, avec une lampe torche, à voir dans ce bout de phrase autre chose que ce qui y est dit, et qui est très claire comme l'eau des roches ? Peut-être la confusion vient-elle de l'utilisation du verbe éliminer. Qui doit cependant s'entendre ici dans son sens le plus large : physique, politique, familiale, etc. Naturellement, faut-il encore faire un petit effort pour situer chaque mot dans son contexte dialectique… La crainte et la préoccupation aujourd'hui : si des personnalités d'une certaine envergure, couvertes de surcroît par un mandat public, ne peuvent plus dire certaines vérités sur la place publique, c'est que, effectivement, et ce de manière inquiétante, il doit y avoir des gros cailloux dans les engrenages de la République. Ce n'est pas Kamerhe qui met en cause l'efficacité des services de l'Etat chargés de la protection des personnes et de leurs biens. C'est le gouvernement lui-même qui, dans le but fort louable de tirer rapidement au clair les mobiles à la base de cet assassinat, avait, dans une précipitation assortie d'incroyables maladresses, décrit les faits, de manière abracadabrante, et livré à l'opinion les noms de certains responsables de services de sécurité publique, suspendus préventivement. Comme c'est souvent le cas dans ce pays, la radio trottoir et le bouche à oreille ont fait et continuent de faire le reste. Kamerhe parle de la mort de Chebeya en pensant en même temps, et c'est son droit, à tous les autres illustres fils du Sud-Kivu morts dans des conditions demeurées troubles dans l'esprit de beaucoup de Congolais. Ce n'est pas tout à fait faux, en plus, que les motivations à la base de toutes ces morts, suspectes à souhait, n'ont jamais été élucidées de manière claire, convaincante et définitive. La justice congolaise n'a pas perdu son indépendance. De même que nos médecins ne sont pas décrétés incompétents parce que le gouvernement a accepté que leurs confrères légistes étrangers viennent procéder à l'autopsie du corps de Chebeya. Une initiative qui ne vient pas de Kamerhe, mais qui a l'avantage d'avoir été saluée de deux mains par les Congolais et la communauté internationale. D'autre part, que des gens trouvent à redire et à faire de insinuations plutôt malveillantes qu'un élu du peuple demande au chef de l'Etat, institution et garant de la nation, des choses et d'autres qui pourraient être faites à l'occasion du cinquantenaire, a quelque chose d'inquiétant pour nous. Et pour l'avenir de la démocratie dans ce pays. Que demande Kamerhe ? Que le chef de l'Etat, dans ses prérogatives constitutionnelles daigne, à l'occasion du cinquantenaire, accorder sa grâce à ceux des prisonniers qui sont condamnés pour des motifs sans rapport avec les crimes de guerre et les crimes contre l'humanité. En le demandant, Kamerhe ne commande Kabila ni ne lui fait injure. Il ne se substitue pas non plus à qui que ce soit. Il ne fait qu'exercer son droit, qui est aussi celui de tout citoyen de suggérer, sans arrière-pensée, au premier magistrat du pays, des actes qu'il pourrait poser éventuellement à l'occasion de certaines circonstances, comme celle du cinquantenaire. Pourquoi suggérer peut-il être assimilé à usurper ? Dans quel monde sommes-nous avec ça ? Et pourquoi, pour dire les choses autrement, cet acharnement qui consiste à vouloir coûte que coûte faire de Kamerhe l'ennemi politique de Kabila ? Pourquoi, d'autre part, veut-on que ce pays parle de nouveau d'une voix monocorde et rame, sans raison majeure, de la même manière, et dans le même sens ? Comme pour la santé, la démocratie dépérit dès lors qu'on cesse de l'entretenir. Or, acculer gratuitement les gens au silence et à la peur sans cause, est le plus sûr moyen d'arriver rapidement au mobutisme sans Mobutu. Et pour ce chapitre précis, Kabila nous a prévenus depuis longtemps : " ne cherchez pas à faire de moi un dictateur ". Il le dit souvent, apparemment sans beaucoup de succès jusqu'ici, à tous ceux qui aiment lui lécher les orteils pour qu'il n'entende, en toute matière touchant à la vie du pays, qu'un seul son de cloche. Celui des faucons intolérants. Qui semblent croire que c'est la République qui leur doit. Et pas le contraire.

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